Agony

Angoisse (p.37)

Le sujet devient plus conscient de son corps, ce qui ravive les souvenirs du sujet amoureux. Les sensations et les émotions de cette mémoire le rendent dépressif.

Les mains, le sexe, cette mémoire me torturent.


J’ai plus envie de moi, de tout ce qui est imprimé sur cette surface poreuse.
Et cette odeur qui y reste ! Oh merde, elle reste et m’étouffe avec ses tonalités ambrées et le goût de chair…