L'aubade

Réveil (p.241)





Le sujet se réveille encore dans son état précèdent, mais vite il retrouve son extériorité et une conscience plus réelle.


Rien n’a changé ! Je suis encore là : le rouge, le blanc, le vide, les murs et le gris.
Non, je mens, ce goût amer dans la bouche est nouveau, comme cette tache
séchée sur mon ventre et ces vrais larmes qui me réveillent et me soulagent!